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Le parcours des prélèvements se déroule en de multiples étapes, sur plusieurs jours. Chacune de ces étapes est réalisée par un professionnel qualifié et habilité, respectant des protocoles établis et validés, en accord avec les bonnes pratiques reconnues en anatomie et cytologie pathologique.
Les coursiers de la structure rapportent les prélèvements collectés dans les établissements de soin au Centre de Pathologie. Certains prélèvements, essentiellement des frottis gynécologiques, sont acheminés par la poste.
À la réception des prélèvements, les techniciens, en binôme, vérifient la concordance entre les bons de demande d’examen ACP et les flacons. Ils étiquettent les bons et les flacons.
À la réception des prélèvements, les techniciens, en binôme, vérifient la concordance entre les bons de demande d’examen ACP et les flacons. Ils étiquettent les bons et les flacons.
Une secrétaire enregistre les dossiers dans l’informatique.
En macroscopie, chaque flacon est ouvert. Son contenu est décrit. Les petits prélèvements sont prélevés en totalité. Pour les pièces opératoires, des zones particulières sont sélectionnées.
L’information concernant ce qui est observé et ce qui est prélevé est reportée minutieusement sur le bon de demande d’examen.
Les échantillons sont ensuite placés dans des petites cassettes en plastique ajouré qui sont étiquetées et numérotées, puis immergées dans les bacs de formol.
Les échantillons sont ensuite placés dans des petites cassettes en plastique ajouré qui sont étiquetées et numérotées, puis immergées dans les bacs de formol.
En fin de journée, les collections de cassettes sont placées dans des automates d’imprégnation en paraffine.
Le lendemain matin, les cassettes sont retrouvées immergées dans de la paraffine chaude à 56°C. Elles sont extraites des automates.
Chaque cassette est ouverte. Son contenu est repositionné dans un moule en métal, puis figé dans un bloc de paraffine par contact avec une platine réfrigérée.
Chacun des blocs va être placé dans un portoir sur un microtome, qui est un instrument servant à confectionner des coupes très fines (quelques centièmes de millimètres).
Le microtome est manipulé par une technicienne qui va réaliser des rubans de paraffine comportant chacun plusieurs coupes de l’échantillon. Au moment où il se déroule sur le tranchant du rasoir, ce ruban de paraffine est saisi délicatement par la technicienne.
Le microtome est manipulé par une technicienne qui va réaliser des rubans de paraffine comportant chacun plusieurs coupes de l’échantillon. Au moment où il se déroule sur le tranchant du rasoir, ce ruban de paraffine est saisi délicatement par la technicienne.
Le microtome est manipulé par une technicienne qui va réaliser des rubans de paraffine comportant chacun plusieurs coupes de l’échantillon. Au moment où il se déroule sur le tranchant du rasoir, ce ruban de paraffine est saisi délicatement par la technicienne.
Après séchage, les lames sont disposées dans des portoirs métalliques et sont placées dans un automate de coloration.
Après séchage, les lames sont disposées dans des portoirs métalliques et sont placées dans un automate de coloration.
Les lames colorées sont agencées sur des plateaux, accompagnées des bons de demande d’examen. Les plateaux de lames sont ensuite livrés dans les bureaux des médecins.
Le médecin pathologiste étudie toutes les lames, formule un diagnostic, en fonction des renseignements reportés sur le bon de demande d’examen, et dicte un compte rendu.
Les secrétaires prennent en charge les fichiers sonores contenant les comptes-rendus dictés par chaque médecin. Ces comptes rendus sont transcrits et enregistrés dans le système informatique de la structure.
Après validation à l’écran des comptes-rendus, les comptes-rendus sont imprimés puis envoyés aux correspondants sous diverses formes (papier, compte-rendu électronique).
Les textes des comptes rendus sont archivés dans l’informatique. Les blocs en paraffine et les lames ayant servies au diagnostic sont archivés dans la partie laboratoire et sont gardés dix ans, en conformité avec la législation actuelle.
Les textes des comptes rendus sont archivés dans l’informatique. Les blocs en paraffine et les lames ayant servies au diagnostic sont archivés dans la partie laboratoire et sont gardés dix ans, en conformité avec la législation actuelle.